Si on la connaissait jusque-là en maman godiche débordée, Laurie Peret quitte le personnage pour se présenter en tant que femme, seule, quarantenaire.
De son inaptitude à tenir une maison seule, en passant par ses addictions contre lesquelles elle lutteune semaine sur deux, son amour pour les mecs dangereux ou l’histoire complexe de sa naissance, ellenous dépeint son quotidien comme « un enchainement de catastrophes divertissantes dont elle estl’unique responsable ».
Mais bien qu’elle soit « son pire danger », elle va bien. Elle va bien parce qu’elle a enfin rencontréquelqu’un : elle.
Un 2eme show efficace, bien plus stand-up que le 1er mais toujours aussi musical. On y retrouve seschansons derrière un petit piano, sa marque de fabrique, même si cette fois il ne s’agit plus d’un jouetmais d’un véritable instrument aux couleurs retro funk.
Pour elle le rdv est pris, À BIENTÔT QUELQUE PART